Le ministère de la Défense israélien a publié lundi que 1 152 soldats sont tombés au combat depuis le 7 octobre, dont plus de 40 % avaient moins de 21 ans et effectuaient leur service militaire obligatoire.

1 152 membres des forces de sécurité ont été tués depuis le début du conflit, un chiffre qui couvre soldats de l’armée (Tsahal), policiers, agents du Shin Bet, personnels pénitentiaires et membres des équipes locales de sécurité déployées en Israël, à Gaza, au Liban et en Judée-Samarie. Parmi eux, 1 035 appartenaient aux rangs de Tsahal.

Le ministère a précisé que 141 des soldats tombés au combat avaient plus de 40 ans, tandis que la plupart des décès concernaient des membres de la réserve, des officiers, des soldats ayant prolongé leur service ou des personnes ayant effectué leur service après l'âge obligatoire.

Au cours de la dernière année, 262 nouvelles pertes ont encore alourdi la liste. « Plus de 6 500 membres ont rejoint les familles endeuillées, dont environ 1 973 parents endeuillés, 351 veuves, 885 orphelins et 3 481 frères et sœurs endeuillés », indique la publication israélienne.